Cegid Quadra Plus : premiers retours du cabinet pilote Aura Finance Conseil
Après avoir obtenu son DEC en 2012, Romain Dalloz-Bourguignon rejoint Aura Finance Conseil, qu’il rachète en 2015. Le cabinet installé à Besançon compte aujourd’hui 3 associés dont un CAC, et 8 collaborateurs. L’expert-comptable y est en charge des technologies, du social et du management. Aura Finance Conseil est cabinet-pilote de Cegid Quadra Plus depuis 6 mois.
En amélioration continue depuis 2015
« Notre conception du métier ? Être proche de nos clients, sur le terrain, toujours à leur disposition. Pour en trouver le temps tout en restant rentable, il n’y a pas trente-six solutions : le recours à la technologie s’impose », explique Romain Dalloz.
C’est la raison pour laquelle son cabinet, racheté le 9 juillet 2015, a basculé en SaaS dès le 1er septembre avec, à l’époque, Cegid Quadra : « Ça a été mon premier bon de commande ! Je voulais avant tout m’affranchir des sauvegardes et des mises à jour, qui prennent du temps et génèrent un stress inutile. Le SaaS a permis de conserver les habitudes de travail que nous avions avec la version serveur, tout en apportant ses avantages, parmi lesquels l’amélioration continue et la facturation au dossier ». Outre Cegid Quadra, le cabinet utilise également Cegid Quadra Paie.
Depuis février 2024, Aura Finance Conseil est cabinet-pilote de Cegid Quadra Plus. « Je suis technophile, et j’ai toujours eu à cœur de tester les nouvelles propositions de Cegid. Être cabinet-pilote nous permet de participer à la co-construction de la solution, tout en bénéficiant d’un fort soutien de l’éditeur en matière de support technique et commercial ».
Une nouvelle étape dont l’expert-comptable attend beaucoup – à date, déjà 350 de ses dossiers sont gérés via Cegid Quadra Plus.
Pourquoi avoir choisi Cegid Quadra Plus ?
En s’appuyant sur le noyau de Cegid Quadra, aux performances et à la fiabilité éprouvées, et outre la reconnaissance et l’affectation automatisée des factures, Cegid Quadra Plus intègre trois axes d’automatisation :
• Les liaisons bancaires
• Le suivi des travaux et le pilotage du cabinet (Pilot)
• Cegid Business
Liaisons bancaires :
« Avec la facture électronique, tout va se baser sur le lettrage », rappelle Romain Dalloz. Un lettrage qui doit être immédiat, puisque le e-reporting à la DGFiP doit être exécuté tous les 10 jours. Plus question d’attendre la fin du mois pour en disposer.
A partir du relevé bancaire (en import et bientôt en direct), Cegid Quadra Plus fait les rapprochements et propose des affectations. Grâce à l’IA générative embarquée, le lettrage est en passe d’être généré en un clic dans 90% des cas.
Pilotage du cabinet :
« Le module Pilot permet de savoir à chaque instant où en est la production en cours », incluant les déclarations faites et à faire, les étapes atteintes par les dossiers en révision, etc.
Pilot intègre la saisie des temps (et celle des notes de frais), apporte des indicateurs concrets et à jour – tels que le nombre de factures saisies ou de pièces manquantes, par exemple. Il offre des tableaux de bord ergonomiques propres à optimiser la productivité du cabinet et à en faciliter le pilotage pour les experts-comptables.
Cegid Business :
« Une fois Cegid Business installé chez nos clients, nous pourrons encore mieux collaborer avec eux. Dès qu’ils y déposeront leurs pièces, celles-ci seront immédiatement lues et traitées par Cegid Quadra Plus ».
L’avenir du cabinet avec l’IA
« La production comptable est assurée par Cegid Quadra Plus. Sur la base de ces données à jour, nous pouvons automatiser beaucoup de choses et proposer de nouveaux services – vendre de nouvelles missions. Par exemple : les rappels ou les relances de règlement, sur des dates programmées. Notre objectif, c’est que nos collaborateurs deviennent des data-controllers. D’ores et déjà ils prennent connaissance chaque jour des indications de Pilot concernant le dossier, et peuvent agir en conséquence ».
Quelles sont les prochaines étapes pour le cabinet Aura Finance Conseil ?
1 : Passer à la comptabilité en temps réel. Déployer Cegid Business (actuellement en test au cabinet) chez les clients pour fluidifier la collaboration avec eux. En parallèle, le cabinet prévoit le recrutement d’un.e secrétaire polyvalent.e, et d’un.e collaborateur.trice « welcomer », en charge de la mise en place de la relation client et de son équipement, avec la facture électronique à l’horizon.
2 : Passer au prédictif, sans ressaisies, grâce à l’IA – et pouvoir ainsi prévenir utilement son client, d’une difficulté de trésorerie, par exemple.
3 : Associer l’humain à l’IA. C’est là que Cegid Pulse intervient : « Un robot conversationnel, comme un chatGPT spécialisé, intégré dans Cegid Quadra Plus, capable notamment d’analyser les données de nos clients… j’ai hâte de le tester ! », conclut l’expert-comptable.
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Comment les collaborateurs ont-ils adopté la solution?
« L’interface de Cegid Quadra Plus n’est pas très différente du Cegid Quadra que nous connaissions, en dehors de la console de pilotage, qui est entièrement nouvelle. Certaines fonctionnalités de la version d’origine, dont l’absence pouvait être gênante au début, arrivent au rythme des mises à jour – deux fois par mois. Nous bénéficions déjà de l’automatisation des tâches répétitives, et les clôtures se feront rapidement toutes seules », explique Romain Dalloz.
Mais il faut construire la confiance. « Les collaborateurs ont besoin d’être rassurés. Les comptables sont des gens responsables et consciencieux. Ils veulent savoir ce qui se passe chez leurs clients, et avec l‘IA ils peuvent craindre de perdre le contrôle de leurs dossiers. Alors au début ils font volontiers preuve d’intransigeance, et sont à l’affût de la moindre erreur du logiciel ». Romain Dalloz note cependant que la méfiance tend à se dissiper au fur et à mesure que se mesurent les avantages concrets de Cegid Quadra Plus – comme l’efficacité de ses fonctions de lettrage ou le temps gagné à la clôture.
Pour autant, il ne faut pas en espérer un effet instantané ou magique. Pour l’expert-comptable, l’automatisation ne fait pas immédiatement baisser la charge de travail :
– les collaborateurs doivent apprivoiser l’outil et apprendre à lui faire raisonnablement confiance,
– l’IA doit intégrer les particularités propres au cabinet et/ou à ses clients (pratiques et plans comptables, par ex.) pour être pleinement efficace.
Il en a fait l’expérience : « Un collaborateur était parti fin juin, nous avons pensé qu’il était inutile de recruter, mais malgré l’automatisation nous avons connu une surcharge de travail. Les progrès de productivité viennent… mais il était simplement trop tôt pour ne pas le remplacer ».