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Finance & Fiscalité

Fiscaliste : un métier de visionnaire au service des choix économiques de l’entreprise !

11 septembre 2019

4 min
Le fiscaliste ne travaille plus dans l’ombre au sein de la direction financière. Dans un contexte d’inflation réglementaire, d’internationalisation de l’activité et de multiplication des opérations de croissance externe, les conditions sont réunies pour faire du fiscaliste, au-delà de son profil expert, un véritable « stratège ». Encore doit-il disposer des bons outils adéquats pour exploiter les données à sa disposition et éclairer les choix du top management !

Fiscaliste : une fonction au premier plan des décideurs de l’entreprise

D’après une étude de l’Observatoire des directions fiscales, 60 % des directions fiscales françaises reportent avoir observé une meilleure prise en compte de la fiscalité dans les développements et investissements internationaux de leur groupe. Ce chiffre vient renforcer une impression générale : les directions générales et financières s’appuient davantage sur les fiscalistes pour mener et réussir leurs opérations (de la signature d’un nouveau contrat cadre à l’acquisition d’une société) et optimiser ainsi la charge de l’impôt, afin de respecter l’équilibre financier existant. Non seulement des économies substantielles peuvent être réalisées, mais c’est aussi le moyen de limiter exposition au risque fiscal : par exemple, les questions autour des prix de transfert doivent être traités par des spécialistes pour éviter d’éventuels redressements de la part de l’administration fiscale.

L’évolution du métier de fiscaliste

L’éditeur Cegid a compris que le fiscaliste devait aujourd’hui dépasser la fonction « simple » de gestion des taxes et obligations. Sa mission actuelle ? Prouver son impact et jouer un rôle prépondérant dans le pilotage financier de la société à travers sa connaissance des régimes fiscaux, ses relations avec l’administration, sa compréhension des réglementations et sa capacité à simuler des opérations financières complexes.

Par exemple, on attend d’un fiscaliste moderne qu’il puisse porter son analyse au-delà de la France afin d’être en mesure de déterminer si l’entreprise paie le juste impôt à la fois dans le pays étranger mais aussi au niveau du groupe. En conclusion, il doit posséder des outils lui permettant d’accéder facilement à des données actualisées et construire tout aussi facilement des analyses capables d’optimiser la charge fiscale et de réduire les risques de redressement. 

Autre illustration, une restructuration peut donner lieu à différentes conséquences fiscales selon le type d’opération retenue (scission ou fusion), d’où l’intérêt pour le fiscaliste de se positionner en amont du projet et de partager ses projections.

Le champ d’action du fiscaliste s’étend aussi à l’image de son entreprise

Les récentes actualités (taxe GAFA) montrent aussi de quelles manières la fiscalité des entreprises devient un sujet hautement stratégique : la réputation. Si un groupe utilise des dispositifs d’évitement de l’impôt (même légaux), des risques d’atteinte à l’image existent : des activistes ou des médias sont susceptibles de conférer une « notoriété désagréable » à la politique fiscale du groupe et nuire aux relations de cette société avec son écosystème. A ce titre, le fiscaliste doit veiller à développer une politique fiscale, sinon transparente au moins suffisamment claire, pour être facilement expliquée aux différentes parties prenantes, à la fois internes et externes. Dans ce contexte, le travail du fiscaliste touche de près à la stratégie groupe.

La Data : au service du fiscaliste moderne.

Ce qui est vrai pour le directeur financier, garant des données financières au sens large, l’est de plus en plus pour le directeur fiscal : les meilleures décisions sont prises en s’appuyant sur des données actualisées, précises et fiables. Jusqu’ici, les fiscalistes devaient fonctionner sur la base de différents systèmes d’information pour récupérer les données, un processus chronophage et risqué qui ne permettait pas de produire des analyses au bon moment pour la direction générale.

L’objectif du fiscaliste, est désormais de disposer de toutes les informations clés pour unifier les différents pans de la fiscalité d’un groupe. Grâce à l’expertise apportée par l’éditeur, les données financières sont disponibles sur une seule et même plateforme au sein de laquelle il est également possible de produire son reporting. Finies les pertes de temps et de données ! Le fiscaliste est réellement capable de créer et d’enrichir ses analyses et donc d’accompagner la croissance de son groupe.

Il ne faut pas oublier que la meilleure amie de la data est la Business Intelligence. Pour un fiscaliste, cela signifie disposer d’un tableau de bord simple à utiliser et permettant de construire des projections et des analyses plus productives et plus pertinentes. L’objectif in fine ? Vulgariser des points compliqués pour les présenter de manière simple à son conseil d’administration. En effet, la communication constitue aujourd’hui un axe d’amélioration pour les fiscalistes s’ils souhaitent que le top management ou les entités opérationnelles le sollicitent davantage en avance de phase sur leurs projets.

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