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Retail & Distribution

Cinq idées reçues sur le Cloud dans le retail

23 janvier 2017

3 min

Inadapté au retail, non personnalisable, hors de prix… le Cloud fait encore peur à de nombreux retailers. Les clichés ont la vie dure même si la plupart sont sans fondement.

1. Le Cloud n’est pas adapté aux applications retail

« Le Cloud se destine uniquement aux outils de paie et au CRM. » Qui n’a pas déjà entendu ce cliché ? Malgré son caractère répandu, l’idée n’en reste pas moins fausse. Dans les faits, de nombreuses enseignes ont déjà opté pour le basculement de toutes leurs applications – même les plus critiques – en mode SaaS. Par exemple, l’application Yourcegid Retail de Cegid est utilisée en mode SaaS par plus de 2 000 points de vente de toute taille dans le monde.

Grâce à son expertise métier, Cegid comprend, en effet, parfaitement les enjeux des retailers et propose des solutions Cloud qui répondent aux spécificités de ce marché : mode autonome en cas de coupure réseau, sécurité élevée, centralisation des données pour traitement des scénarios omnichannel, gestion automatique des montées en charge lors des soldes ou autres pics d’activité en magasin.

2. Je ne pourrai plus personnaliser mes applications

La problématique de personnalisation n’est pas liée à son mode de consommation, SaaS ou « on premise », mais bien à la solution elle-même. Les retailers devront donc bien vérifier auprès de leur fournisseur Cloud que l’outil proposé reste entièrement personnalisable.

3. Le Software as a Service, ça me coûte cher

Et non, le Cloud ne fait pas exploser les dépenses des retailers ! Selon le cabinet Yankee Group, c’est même le contraire. Au bout d’un an d’utilisation, les entreprises converties au Cloud réduisent leur facture d’environ 60 % par rapport à celles qui optent pour des solutions « on premise ». Le mode SaaS permet de se libérer des coûts d’investissement et de maintenance liés à l’infrastructure mais pas que… Le Cloud gomme – pour un niveau de service souvent meilleur – les coûts cachés qu’un retailer ne verrait pas au premier abord avec une solution on premise tels que l’indisponibilité de l’application, la perte des données suite à une mauvaise sauvegarde, la gestion de toutes les mises à jour en dehors des plages d’ouverture des magasins, la surveillance 24/24, le renouvellement des infrastructures, des licences système et leur déploiement… Et la liste est longue !

4. Le Cloud, ok mais, sans Internet, je ne peux plus rien faire

C’est une crainte courante des retailers : peut-on continuer à encaisser les achats de ses clients en cas de rupture de la connexion Internet ? Plusieurs solutions sur le marché, comme celle de Cegid, prévoient un mode « autonome » permettant de poursuivre l’encaissement et de synchroniser les données une fois la connexion rétablie. De plus, les contrats Cloud prévoient des clauses de SLA (Service Level Agreement) qui garantissent les délais maximum d’intervention et de résolution du fournisseur.

À noter également que le Cloud Cegid propose des solutions télécoms telles que le VPN pour augmenter la fiabilité et la performance des accès.

5. C’est à moi de mettre à jour mes solutions Cloud

En mode SaaS, le fournisseur assure la mise à jour de l’ensemble de ses solutions. Le retailer est donc assuré de bénéficier d’un système toujours à jour, à la pointe des dernières avancées technologiques et des dernières mises à jour fonctionnelles ou légales.

 

Une manière aussi pour les équipes informatiques des retailers de se dégager du temps pour se consacrer à des tâches à plus forte valeur ajoutée directement au service des métiers !

 

Pour en savoir plus

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